Claire Alfaya a proposé à des femmes rencontrées dans son milieu professionnel (secteur social) de participer à un projet multimédia engagé entre plusieurs artistes : photo, écriture, graphisme, radio. L'idée est de partager artistiquement, autrement que dans un contexte de travail, de croiser des regards/stylos/pinceaux/voix etc... sur des sujets qui nous touchent toutes et tous : les violences conjugales, la politique, la sexualité, les droits des étrangers, la rue, la condition des femmes dans différents milieux.

Zoom sur ce qui se trouve autour de nous, au coin de la rue et ici même sous nos pieds, avec ou sans fleurs, semées, plantées ou non par les hommes, elles déploient quantité de stratégies pour être là. Elles sont endogènes ou arrivent des 4 coins du monde, regardons-les de plus près, elles sont pleines de qualités, toujours un abri où l'on peut se nourrir, se soigner ou s'intoxiquer ! Apprenons à les connaître et à cohabiter.

Rendu du forum de discussion « Forum des Rêves » : les utilisateurs ont enregistré leurs rêves sur leur téléphone, se les montrent en ligne et en discutent. Avec Carmit Harash, Laëtitia Lerogeron, Philippe Wicht, Jean-Charles Massera, Ling Wang, Julien d'Abrigeon, Céline Ahond... Production Offre Spéciale Films, L'image d'Après (Europe) et Elegoa Cultural Productions (Amérique). Diffusion interactive de la mini-série de 10 épisodes tournée en France, à Cuba, au Maroc, au Canada, en Belgique, au Luxembourg...

Si les masques ont figé des figures humaines vivantes dans le plâtre, à l'inverse les projections les animent par des représentations animales d'espèces vertébrées disparues ou en voie d'extinction - dont les caractéristiques morphologiques ont été soigneusement capturées en 3D par des équipes scientifiques sous la direction du Professeur Timothy Rowe. Dans la métamorphose de l'homme à l'animal, Ânima propose alors une mutation du réel au virtuel en sondant ces frontières oscillantes

Diffusion par l'association Cap Nomade de la création hybride issue de la résidence participative « Passerelles Oniriques Populaires » sur le thème « Limite(s) » réalisée au printemps 2018. Cette création a été réalisée lors d'ateliers collectifs autour de l'image, du son et du spectacle vivant dans un bus atelier installé sur l'espace public

Il suffirait d'un grain de sable... Un petit "faut pas" ! Et on pourrait quitter le chemin, prendre la route : douter, découvrir, rêver, bifurquer, choisir, subir, rencontrer, s'émerveiller, mais rester soi, un humain imprévu. De la combinaison des possibles naissent des compositions vidéo, (im) (pré) visibles boucles d'images assemblées, triturées, mixées et recomposées, projetées sur des arbres du parc.

Le lumophone est un cube qui permet de créer une œuvre visuelle et sonore. Par le simple toucher d'une des faces du cube, ou d'une combinaison qu'offrent cinq de ses surfaces, des arbres s'illuminent. Au rythme des couleurs qui dévoilent les silhouettes des arbres, des notes de musique accompagnent la mise en lumière.

Stéphane Masson opère depuis 2004 dans le détournement d'objets par truchement vidéo. Pour cette Faites de l'Image, il transforme à coup de vidéoprojecteurs une voiture en un aquarium. Celle-ci se remplit d'eau et se peuple de poissons rouges dans une vidéo contemplative tout en contraste.

Quand les enfants dessine la ville de demain....
Ces dessins ont été animés pour en faire un film projeté en mapping vidéo sur une grande maquette d'immeubles. Ce projet s'est déroulé en deux volets, l'un avec l'école Didier Daurat à la Reynerie et l'autre avec l'école Jules Ferry à Colomiers.
Ce projet a été soutenu par Toulouse Métropole.