Lilie Pinot

jésus est une femme comme les autres

 

Tu l'as vu Jésus ? Tu l'aimes Jésus ?

Et la croix ? Tu l'aime ma croix ?

 

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myrtille visscher

légers sur la terre

 

Ceux que j’ai rencontrés préfèrent ÊTRE plutôt qu’AVOIR. Ils choisissent leurs propres contraintes : vivre simplement et avec peu.
Avec le projet «Légers sur la Terre», j’explore le quotidien de ces personnes qui construisent et habitent leur yourte, leur tipi, leur cabane. En quête de bonheurs simples et existentiels, je partage des chemins, des envies, des nuits, des jours, des naissances, des séparations, des chantiers...

 

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COLLECTIF Warld Cup
& Cap Nomade

Hors champ(s)

Le Projet « Hors-Champ(s), un autre regard sur la coupe du Monde au Brésil », initialement appelé « Warld Cup », est un projet de photographie documentaire ayant pour volonté de montrer l'autre côté, les autres côtés, de la récente Coupe du Monde Fifa Brasil 2014.

 

Autour de ce projet, 30 photographes de 10 nationalités différentes se sont réunis dans un désir commun : essayer de montrer ce qui est resté caché, derrière la folie du « football business » et de ce qui a pu être véhiculé par les médias traditionnels. D'autres thématiques sont ici abordées, les aspects sociaux de l'événement, les manifestations, les expropriations de terrains et de maisons, la répression policière, le football dans la culture et dans les communidades (nom donné aux favelas), ou encore les conséquences urbaines d'un tel événement.

 

Pour autant, ce projet documentaire ne vise pas à occulter l'amour réel du football qui anime une immense majorité des brésiliens...et des photographes qui ont pris part à ce projet. Il s'agit avant tout de montrer que sous couvert d'un événement planétaire, se cachent d'autres réalités, trop souvent occultées. Alors que se tiendront en 2016 les Jeux Olympiques à Rio, et l'Euro de football en France, ce travail vise à interroger sur les méga-événements sportifs et leurs conséquences sociales.

 

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les voix de traverse

belfort, mémoires d'habitants

 

Belfort comme vous ne l’avez jamais entendu ! Venez découvrir le quartier raconté par celles et ceux qui y vivent, y travaillent, le fréquentent.
Empruntez nos audioguides et laissez-vous guider, casque aux oreilles, par une balade sonore construite avec les témoignages des habitants.
Arpentez la rue Denfert-Rochereau et ses commerces, plongez dans la mémoire de la rue Bayard et de ses bistrots, venez prendre le temps place Belfort…

La visite du quartier continuera en ligne, à travers un webdocumentaire qui mêle enregistrements de témoignages, travail photographique, recueil d’ambiances sonores, archives diverses. Vous pourrez en découvrir des extraits directement le long du parcours de la balade, grâce à des affiches munies de flashcodes qui, une fois photographiés par vos téléphones intelligents, vous transporteront dans l’espace virtuel de Belfort…

 

Venez charger notre balade sur votre lecteur mp3, ou empruntez nos boitiers audio-guides et partez vous promener !

 

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NICOLAS ferras

we are not expendable...

« Nous ne sommes pas consommables. Nous ne sommes pas des fleurs que l’on offre sur l'autel du profit et du pouvoir. Nous sommes des flammes dansantes engagées à combattre l'obscurité et à défier ceux qui menacent la planète, la magie et le mystère de la vie.»

Rashida Bee et Champa Devi Shukla : survivantes de la catastrophe de Bhopal (Inde), militantes et fondatrices de Chingari Trust.

Dans notre système global de pensée, nous parlons souvent d'écologie en faisant référence au réchauffement climatique, aux espèces animales en voie de disparition, au tri sélectif, etc. Cependant, les lieux les plus pollués de la planète le sont par d'énormes groupes financiers et politiques, cette pollution engendre la mort et la maladie d'humains depuis près de 60 ans. Rashida Bee nous parle de la notion de "Corporate crime". Ces grands groupes que sont Dow Chemical, Monsanto, Areva, ou Glencore (pour ne citer qu'eux) tuent des hommes, des femmes et des enfants au nom de leur profit et de notre

confort.

C'est ce propos en particulier que ce projet tient en présentant les lieux concernés (le césium à Tchernobyl ou Fukushima, le M.I.C. à Bhopal, l'agent orange au Vietnam et aux Etats-Unis, le nemagon au Nicaragua, la dioxine en Argentine, dans le Michigan ou à Seveso, le cyanure en Zambie, l'uranium au Niger, les PCB dans l'Hudson, le mercure à Minamata, etc.) par la création, la recherche et l'essai photographique, qu'ils soient techniques, matériels ou esthétiques.

 

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Pascal Ruetsh

Les villes imaginaires

 

Les villes de Pascal Ruetsch sont une porte ouverte sur l'imaginaire. Inspirées du réel, parcourues de rues, de boulevards, de voies ferrées, elles ressemblent étrangement à des lieux que l'on croit connaître. Qu'ils soient de style ancien ou très contemporains, les monuments et les architectures qui les composent sont toujours inventés. La vue du ciel, entre vue en plan et en trois dimensions facilite la lecture des dessins et permet d'en apprécier les détails architecturaux. Semblable à une visite réelle où l'on se perd dans les méandres des rues, ces villes imaginaires sont une invitation à la découverte, à la ballade et au rêve. Elles sont riches de monuments, d'architectures toujours inventés.

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poneymort

angle mort

Le projet angle mort est une intervention dans l'espace public. Il fabrique des visuels grand format "camouflés" par le procédé de l'anamorphose, destinés à être abandonnés sur un site précis pour y introduire une anomalie.

C'est une manière low-tech de photoshoper en échelle 1, de faire du collage sur la réalité.

>Le projet est toujours de hacker le paysage urbain, d'y remettre en scène les personnages qui en font la vie et l'identité : populations passées, anonymes, freaks, mais aussi bâtiments qui ne sont plus debout, détails et occupations provisoires.

L'anamorphose ne fonctionne que depuis un point de vue précis, qui peut être accessible ou perché sur le mobilier urbain.

Il s'agit de faire un pas de côté pour redécouvrir sa ville

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igor agar

carnet nocturne

les élucubrations poético-graphiques d'Igor Agar, au gré des pages du petit carnet qui ne quitte pas sa table de nuit. Une rétrospective intime de l'année écoulée, une vision légèrement décalée de la réalité...

 

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