Clarinettiste émérite et spécimen scénique.
Ce mec est fou : on ne sait pas si c’est un pipeau ou un synthétiseur, il gesticule, ses mélodies sont étranges autant que superbes, il semble bafouiller au micro mais balance des punchlines abusées. Une sorte de fusion d’un concert de jazz avec une teuf techno.
La première est une fanatique de pellicule aimant faire sans se laver les mains, cherchant dans les limites de la lumière des mondes mystérieux. La seconde est armée d’une basse et d’un archet, créant avec les possibles de son instrument, des sensations profondes. Leur rencontre est une performance basée exclusivement sur des gestes manuels loin du numérique.
Chloé Della Valle : sons / Marine Cerles : images
Plongez dans un univers sombre et fantasmagorique à travers la projection de vieux films SUPER 8 des années 60 du registre SF ou épouvante et une bande son réalisée en direct avec des instruments imaginaires, de pédales, de boucles, d’une guitare électrique et d’une voix, tantôt parlée, tantôt chantée, mélangeant français, anglais, bouts de poèmes et autres influences diverses.
Eleanore Rochas : chant / Ludovic Barbut : instruments
Utiliser des diapositives, c’est évoquer un temps artisanal de la fabrique et de la diffusion des images. Ressortir des diapositives, c’est aussi aller chercher des images oubliées, laissées dans les cartons. Quant au scénario musical, il se trouve étroitement lié au diaporama, dans toute l’expression de sa sensibilité, ses trous de mémoire, ses rêves. La musique est d’aujourd’hui, les images d’hier.
Betty Hovette : piano / Laurent Paris : percussions
Les textes, adaptés du roman-photo écrit au jour le jour par Céline Delestré, racontent le quotidien d’un quartier populaire proche du centre ville. La musique qui nous oblige à nous lever pour sauter, c’est celle d’Ange B. Le premier acte s’est déroulé à la Faites de l’image 2022. Place au second acte !
Céline Delestré : photographies et textes / Ange B : machines et beat box
Que faire de la dualité entre l’acoustique et l’électronique, entre le be-bop et la techno, le sérieux et l’humour, l’improvisation et l’interprétation ? Créer des ponts. Un cocktail explosif de compositions entremêlées de transes où la liberté du jazz ondule avec les musiques électroniques. Une Cyber Funk endiablée… C’est ça l’idée.
Issa Souriant : Keyboards / Idris-Félix Bahri : bass / Curtis Efoua-Ela : batterie, machines / Nicolas Algans : trompette, machines
La première est une fanatique de pellicule aimant faire sans se laver les mains, cherchant dans les limites de la lumière des mondes mystérieux. La seconde est armée d’une basse et d’un archet, créant avec les possibles de son instrument, des sensations profondes. Leur rencontre est une performance basée exclusivement sur des gestes manuels loin du numérique.
Chloé Della Valle : sons / Marine Cerles : images
Niveaux après niveaux, boss après boss, la séance propose une revisite ludique du cinéma muet qui annonce déjà l’âge des jeux d’arcade et des consoles personnelles. Cartoons américains, films à trucs colorisés et jeux vidéo ! Consoles en main, le duo 1Up Collectif officie depuis quelques années dans la chipmusic, comprendre musique de jeux vidéo et autres sons électro 8-bits.
Ici la création se refait en temps réel avec le rythme et les inspirations du moment. Basé sur un questionnement entre numérique et organique, c’est à partir du travail graphique de Florence Margery, que se peint cette épopée d’un végétal extra terrestre et de son regard sur notre époque. Sept moments audio-video’s que chacun est libre de goûter à son rythme.
S’accouder au bastingage
L’appel du large, de la dérive
Loin où l'abomination s'oublie
Loin du ravage des mondes
Au fond, au fond, tout au fond
Entrevoir la dense inertie du temps
Là où sur lui même se dévore le silence
Adhoc : machines - saxophone soprano / Alex : batterie - percussions / Jo Eiffel : guitare - effets / Fred : sable - bidulages / Yerko : technique - cordages