vendredi & samedi

Peintures, photographies et boîtes lumineuses.
Des peintures de baleines qui font sourire au live report* en passant par le dessin abstrait, Olivier Guérin propose une galerie en plein air au cœur du festival.
* [création en direct !]

Peintures et commentaires.
Témoignage d’un amour inconditionnel pour un fils ayant toujours été pour elle source d’incompréhension. L’avis de ma mère nous partage ce doux décalage d’où émerge un entremonde. Un endroit étrange où les commentaires d’une mère aidante, enveloppent l’ouvrage de ce fils poète, se rêvant peintre.

Photographies sous-marines.
L’homme dans sa nature : origines, évolutions et rêveries aquatiques.
Un paradigme décalé et mouillé en compromis esthétique avec la mer.
Avec le Collectif BloOB.

Photographies, collages et vidéos.
Une vacancière en combinaison à paillettes fait du snorkeling dans sa baignoire, un poulet s’en lave les plumes sur une reprise de Katerine, un homme-nuage emménage sur un coin de sable, un perroquet remporte une marmite d’épinards… Ici cohabitent humains, créatures et animaux. Et chacun y livre une étrangeté qui lui colle à la peau.

Exposition photographique à ciel ouvert.
À travers l’objectif de Manon Avram et Manuel Buttner, 2 générations (enfants et aîné·e·s) ont raconté un peu de leur histoire et de leur devenir, par le prisme de leurs mains.
52 images exposées dans le quartier.
Des visites guidées sont proposées par les artistes.

Photographies.
Du bleu, comme tes écailles qui s’effritent, laissant apparaitre tes entrailles. De la poussière, c’est ce qu’il restera lorsque les gravats auront ensevelis nos souvenirs et nos vies passées dans la cité bleue. Des images, pour garder une trace et rendre hommage à ceux qui l’ont habitée.

Photographies, textes.
Reflet 31 a proposé à des femmes membres des associations partenaires de l’événement «Femmes en mouvements» du 8 mars 2023, de choisir une œuvre d’une artiste ayant représenté, sur leur toile, un modèle féminin. Chacune d’elles a «rejoué» le tableau qu’elle avait sélectionné, devant l’objectif.

Fresque murale.
Inaugurée en 2018, une fresque de 400 m2 signée du graffeur toulousain 100taur. Réalisée sur le mur d’un boulodrome, elle court sur 65 mètres de long et révèle un bestiaire original, tout droit sorti de l’imaginaire de l’artiste. "J’ai calculé qu’il fallait 61 secondes entre le début et la fin du bâtiment. J’ai eu envie de créer une déambulation, faire en sorte que pendant ce temps les gens se racontent des histoires, que ce soit un plaisir, qu’ils puissent s’évader, qu’ils y passent plus de temps, quel que soit leur âge", explique 100Taur.